Mois: janvier 2014
N’exporte pas qui veut…
Citation
confiance en l’avenir et fierté
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Moment de fierté mardi dernier à Paris, lors de la remise du prix de la première œuvre du Moniteur, au côté de l’architecte B. Bouchet.
D’autant plus fier que, sur le coup, c’est une vraie construction collective qui est primée : au delà ce sont les valeurs auxquelles je crois le plus qui ont été reconnues : le sens de l’humain, la recherche de l’excellence.
Seuls les élus n’ont jamais raison seuls, par contre, là, ensemble quel plaisir !
Insupportable…
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source : La Montagne, 14 janvier 2014
Je pensais avoir tout vu de l’hypocrisie au pouvoir, et le Président de la République en jouant sur la morale voulait tirer un trait sur ce qu’il jugeait comme des dérives du précédent règne. En fait, au bling-bling se sont ajoutés l’hypocrisie et le mensonge portés au plus haut de l’Etat.
Au final, les politiques déjà discrédités, comme l’a si bien mis en évidence Jean Lassalle, deviennent ridicules par le fait du premier d’entre eux. Et encore, tout n’est pas fini semble-t-il.
Au risque de détonner je considère que quand le privé s’impose dans la sphère publique, il n’y a plus de « privé » qui tienne : c’est trop facile de faire vibrer dans les médias la corde du privé lorsque cela sert, et de jouer les vierges effarouchées quand on est pris la main dans le pot de confiture…
Au final qui y perd ? l’ensemble de ceux qui s’engagent dans la vie publique honnêtement et dans la recherche de l’intérêt collectif. Et ça, c’est insupportable…
L’engagement politique : une obligation.
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Comment pourrait-on rester les bras croisés et laisser à d’autres le soin de parer au plus pressé, de « limiter la casse » ou de « tirer les marrons » d’un feu qui gagne ? L’aveuglement socialiste confine au suicide : négation de l’évidence, refus du débat, stigmatisation de ceux qui ne pensent pas « comme il faut » : homophobes, racistes, anti-démocrates et j’en passe. Je ne parle pas davantage des extrêmes, pulvérisateurs d’essence à la main devant le brasier…
Cet engagement ne peut se faire que dans le cadre de structures politiques pérennes : les partis qui fondent la vie publique des démocraties. Plutôt que d’en condamner les membres, prenons plutôt ces partis d’assaut pour en faire ce qu’ils n’auraient jamais du cesser d’être : le relais de l’expression citoyenne.
Pour ma part, L’Alternative incarne aujourd’hui cette nécessité offensive de renouvellement. A travers Ambert au centre nous la faisons vivre localement : les échéances de demain doivent être les nôtres, ici et ailleurs.
Michel SAUVADE - chronique démocrate auvergnate 