
à retrouver sur : Michel Sauvade : « L’AMF n’a pas à être pour ou contre la 5G, mais défend un déploiement équilibré du territoire » – La Revue des territoires
Campagne de communication du VALTOM : stigmatiser le brûlage des déchets verts, interdits par la loi. encore une fois on est dans la caricature pour essayer de défendre une règle démagogique, stupide et infondée. Mais c’est la règle…
Les jardiniers n’ont pas attendu de beaux esprits pour gérer au mieux leurs déchets verts, y compris en brûlant les déchets résiduels. Peut-être qu’un jour quelqu’un comprendra que ce type de démarche est totalement contre-productive ?
Intervention en tant que président du comité national de dialogue sur l’exposition du public aux ondes électromagnétiques. (à partir de 1 h 10)
Je l’avais évoqué dans un précédent article : la nature même de l’article 37 du décret du 29 octobre rendait inextricable une solution réglementaire : https://sauvade.net/2020/10/31/covid19-un-decret-qui-rend-impossible-une-reponse-adaptee-pour-les-commerces-aux-enjeux-sanitaires-et-economiques/
C’est effectivement l’article 37 qui est modifié par le nouveau décret paru aujourd’hui au Journal officiel (https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042486870?datePubli=03%252F11%252F2020&nature=DECRET) :
La prochaine fois ça serait bien de faire relire les décrets par des maires : Ils sont irresponsables mais ils réfléchissent, eux.
Ca me rappelle l’histoire du conducteur qui perd une roue au bord du parc d’un asile parce qu’il a perdu 4 écrous d’une roue. Le gars est coincé, ne sait pas que faire :
un fou le regarde du haut du mur d’enceinte de l’asile et lui dit : « c’est facile, prenez un écrou sur chacune des 3 autres roues, mettez-les sur la quatrième et vous pourrez aller jusqu’au garage. »
Le chauffeur le regarde et lui dit : » mais dites-moi, vous n’êtes pas fou, vous !«
Et le fou de répondre : « oh si je suis fou, mais je ne suis pas con... »
Ceci étant, la question des produits de « première nécessité » n’est pas réglé. Quand on est mauvais, on l’est jusqu’au bout…